Titre : Regards textiles sur les tapisseries de la Chaise-Dieu
Format : 200 x 300 cm – double-face
Poids : 23,2 kg
Date : 2019- 2020
n°209.2020.1
Technique : 864 rectangles de polyesters recouverts de tissu sur tranche et enroulés de lisières en soie et coton
Descriptif : résidence d’artiste, Syndicat Mixte du projet Chaise-Dieu dans le cadre du Festival International des Textiles Extra ordinaires (FITE)
Projet collaboratif pour ouvrir le dialogue entre les habitants et leur patrimoine textile. Avec soixante-quinze participants, réalisation de deux panneaux de 2 x 3 mètres, reprenant la composition des tapisseries de chœur de l’Abbaye de la Chaise-Dieu. Création issue d’ateliers sur la colorimétrie des tapisseries du début du XVI ème siècle, endroit et envers.
Mécénat en matière de Denis & Fils
Titre : La peau du monde
Format : 152 x 215 cm
Poids : 2040 g
Date : 2017 – 2019
n° 197.2019.1
Technique : 6825 carrés de textiles de 3 centimètres, assemblés en trois dimensions puis quiltés sur support toile à travers une âme en soie.
Descriptif : Avec La peau du monde, les recherches menées dans la série des Instants et des Eau vive s’émancipent, les diagonales s’assouplissent. L’effet en trois dimensions devient une manière de faire, combiné aux choix chromatiques il donne à l’ensemble une vraie sensualité.
Une nouvelle texture apparaît entre fourrure, plumage et écaille.
Synthèse des recherches antérieures, la composition en relief semble happer le spectateur.
Titre : Eau vive 3
Série des Eau-vive
Format : 152 x
215 cm
Poids : 1615 g
Date : 2016 –
2017
n° 194.2017.3
Technique : 6825 carrés textiles de trois centimètres de côté assemblés et quiltés main sur support toile à travers une âme en soie
Descriptif : Eau vive 3 s’inscrit dans le sillage de la série des Instants.
L’oblique du motif initial est assouplie, déclinée dans un large dégradé de bleus.
Des clichés pris de l’envers d’Eau vive 1 ont permis d’imaginer un autre effet de matière dans un autre format, plus large.
Ainsi nait une surface « alvéolaire » donnant à voir une matière inédite en relief. Chacun des fragments textiles semble se fondre avec ses voisins créant une sensation optique floue, quasi impressionniste.
Entre Eau vive 1 et Eau vive 3, les carrés textiles gagnent en mobilité, devenant comme plus rapides, suivant une pente accrue d’un paysage au confluent de l’ombre et de la clarté.
Ce nouveau montage en relief donne un flottement d’une grande sensualité, comme si l’éther se superposait à la matière.
Série des Instants
Série des Eau vive
Série des Cinq carrés
Série des Espace-temps
Série des Cercles
Série des Alhambra
Autres œuvres